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Au lit les vieux

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LES VIEUX ONT DE LA GUEULE

Bordeaux/Sochaux dimanche 18 decembre 17h00

AGENDA :

Rendez vous vendredi 30 decembre pour la Saint Roger : Resaka sonora + La Replik

                                                
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2 juin 2007 6 02 /06 /juin /2007 10:57

A la base ce déplacement peut ne pas paraître trop attrayant! A part sa célèbre Henriette, le Mans ne fait pas parti des déplacements les plus attendus de l'année. Et pourtant ce soir les girondins pouvaient décrocher a nouveau une qualification en LDC!
Le gros de la troupe des Old Brothers étant au vert en attendant le prochain wek end chargé (soirée + déplacement à Toulouse), je suis donc le seul à effectuer ce déplacement!


Le déplacement au Mans fait parti des plus courts de la saison.....mais en partant de Bordeaux ! Pour moi la distance s'allonge de 850 bornes, puisque obligé de partir de Toulon ! Donc train de nuit de Toulon pour arriver au petit matin à Bordeaux tout juste pour le départ des bus!
Voyage original puisque une thématique accompagnait le déplacement : chacun devant apporter un instrument de musique ! Pas très original pour moi puisque mon pipeau me suit partout !
Un membre du KGB n'avait rien trouvé de mieux que piquer un jouet en plastique à son fils!


Après donc une ambiance sympa dans le bus puis un bon squattage d'un bar du coin, l'heure est venue de s'approcher du stade. Mais le KGB et leur acolyte de la rive droite, toujours a l'affût pour gruger quelque chose de gratos, se mettent en ma compagnie, à la recherche du  stand du sponsor du Mans. « Louet », ayant annoncé dans le journal local, qu'à l’occasion du dernier match a domicile une grillade géante de poulets était offerte! L'occasion était trop belle.
Après un bref tour de stade sans rien trouver,  nous tombons derrière la tribune présidentielle sur un chapiteau avec une porte donnant à la fois sur l'intérieur et l'extérieur du stade ! La porte n'étant pas fermée a clé, nous nous engouffrons d'un seul coup et découvrons derrière quelques costards cravates..... Un joli buffet dressé de petits fours, champagne, pression, vin......tant pis donc pour le poulet ce buffet est bien plus alléchant!
Les moins chanceux d'entre nous n'atteignent même pas le buffet et sont évacués directement vers la sortie la bave aux lèvres! D'autres ont encore des oeufs de lymphes aux coins de la bouche quand on les met dehors ! Et là encore une fois c'est l'expérience qui paye !!!!!


Après m'être fondue dans la masse je me retrouve avec Baum's'le somalien a déguster pendant 1h tous les petits fours proposés, puis le buffet de plat chaud avant de finir sur les petits gâteaux ! Je vous laisse imaginer que pour manger tout ça il faut bien l’accompagner de quelques coupes de champagne !
Après une nouvelle tentative infructueuse pour faire rentrer a nouveau quelques collègues par la porte de derrière, nous sortons de cette cérémonie VIP sans oublier de prendre quelques rations (champagne compris) pour régaler ceux restés dehors!

A le célèbre accueil du Mans! Il restera aussi dans les mémoires! Il ne manquait plus que la célèbre turlutte d'Henriette.....du Mans!!!!

Le reste sans intérêt !!!

SLY.



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29 mai 2007 2 29 /05 /mai /2007 23:31

A qui la faute, où comment perdre cette troisième place qui nous tendait les bras. 3 matchs, 9 points possibles et 1 seul point de pris alors que 2 points nous ouvraient la route du Camp Nou ou du san Siro.

Nous voilà donc 6eme de ce pauvre championnat et notre ami Triaud au lendemain de notre défaite dans la ville rose, nous ressort sa vieille tirade pourrie « souvenez vous, il y a deux ans nous avons faillit descendre en L2 ».

Dans le même esprit, j’ai envie de lui répondre qu’il y a un an nous étions deuxièmes et je l’invite à se pencher sur la gestion humaine et sportive de ces 3 derniers matchs.

Comment peut on gérer une équipe professionnelle en ayant des divergences avec certains joueurs clés, les écarter du groupe et être performants.

Le Darche, meilleur buteur du club qu’on le veuille ou non, était certainement notre arme offensive la plus importante de l’effectif pour évoluer dans un schéma à une seule pointe.

Rio aurait été très précieux dans la récupération de ballons et aurait certainement permis au talentueux Fernando de s’économiser un peu. On ne peut pas ratisser, relancer et organiser pendant 90 minutes, ou peut être à la « play station ».

A l’arrivée on nous sert le « pit bull », à peine plus rapide qu’un « Old Brothers » au lendemain d’un déplacement, et on aligne une équipe pleine d’ambition tournée sur l’offensive (sic) animée par un Micoud hors de forme qui ne serait même pas titulaire dans l’équipe du KGB.

Il est regrettable que les brouilles ou embrouilles personnelles aient pris le dessus sur les intérêts du club car il y avait de la place pour cette putain de troisième place.

 

Alors Monsieur Triaud souvenez vous de ceci avant de recruter des sud-américains à la triple nationalité et meilleurs buteurs en catégorie minime, on a jamais fait d’un âne un cheval de course.

 

 

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16 mai 2007 3 16 /05 /mai /2007 20:26

NON IL N'A PAS PEUR DES SKIN-HEAD GRECS !

        

Vendredi 11 mai, quelques 800 à 900 personnes de tous ages, tous sexes, toutes couleurs, toutes origines (dont plusieurs Old Brothers et un Cenonais ) se sont retrouvées au Krakatoa, pour assister au concert des mythiques Wampas et son chanteur survolté...l'ambiance conviviale était au rendez-vous,alimentée par la bonne humeur des organisateurs (abc Blanquefort..) et par la bière fraîche. Après une première partie, au rythme "punkoîde",de "los purinos"..les Wampas ont pris le relais dans une salle déjà acquis à leur cause. En commençant par le morceau "ce soir c'est noël", les Wampas ont donné le ton de leur set. Un bon gros son comme on les aime, de bons riffs de gratte, un chanteur acrobate et bondissant. Tous les ingrédients pour faire pogoter la foule.....qui ne s'en n'est pas privé d'ailleurs, du bruit et de la sueur, quelle joie le rock n'roll !!!.Durant 1h40 les Wampas ont enchaîné de nombreux "vieux" tubes en y incluant quelques titres plus récent (Chirac en prison notamment devenu au fil du morceau Juppé en prison...), bref il y en avait pour tous goûts et toutes les générations.

                               

                                                              

Eole, notre envoyé spécial.

TOURNOI BLANQUEFORT 2007

 

 

Bonne prestation des vieux tout au long de cette journée ensoleillée. Sérieux et appliqués ils ont accroché la 3eme place de ce plateau relevé, et résistés par 2 fois à une équipe du KGB renforcée par de jeune ultras et par Jean Claude Darcheville

                                    

1er Chourmo

2em MLS.

3em OLD BROTHERS BORDEAUX 

4em Oazic.

5em  ULTRAMARINES

                                                              

ON CHANGE DE MINISTERE.                                                                                                                                                                                              

Créon, bourgade bien indiquée entre Libourne et Bordeaux, plus grande qu'on pourrait le penser, ne mise pas en priorité sur l'information Après avoir visiter pendant une bonne demie heure cette jolie commune nous trouvons enfin la salle polyvalente... Une grosse centaine de personne plus perspicaces que nous est déjà en place. Le temps de siroter une bière nous assistons à la performance de « 0800 » groupe de hip-hop classique et honorable, en tout cas motivé. Percée au fond de la salle d'une équipe de mineur casqués : aux alentours de 23h20 le concert commence. Durant plus de 2 heures nous assistons à un spectacle aussi bien théâtral que musical dans une ambiance 100% hip-hop chti guinguette populaire. Dommage que le public ait été si peu informé car c'est un groupe qui doit valoir le coup dans une salle bondée. Le concert terminé contact a été pris pour le concert des 20 ans mais mes jambes m'ayant lâché nous laissons les négociateurs en action, à suivre...

Gégé, notre envoyé Spécial.

 

 

 

 

 

 

                                                     

 

 

 

 

 

 

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27 avril 2007 5 27 /04 /avril /2007 22:59

                                          

 

Ils viennent de l'autre coté des Pyrénées et leur passion pour le maillot au scapulaire est débordante. Je vous propose de découvrir le principal artisan de ces supporters inconditionnels.

Qui es tu et peux tu nous présenter le FCGB Euskadi ?

Je m’appelle Txomin , j’ai 31 ans, je suis de Bilbao (Pays Basque) et je travaille dans un magasin de rétroviseurs pour voiture.

Le FCGB Euskadi est un groupe d’amis, tous de Bilbao, supporters des Girondins. Certains, comme moi, sont adhérents Ultramarines et d’autres sympathisants. On vient de commencer mais nous sommes très motivés. Nous soutenons la mentalité des Ultramarines et nous l’assumons pleinement.

Depuis quand et comment fais tu pour suivre les Girondins ? 

Depuis que je suis petit, j’avais presque10 ans lorsque les girondins sont venus jouer à San Mames en coupe d’Europe, j’étais présent dans les tribunes avec mon père et ce club m’a plu. Depuis ce jour, j’ai 2 clubs dans le cœur. Plus tard, à la fin des années 80, j’ai vu un reportage sur la violence dans les stades en France, un journaliste interviewait des personnes du virage sud et je me suis juré qu’un jour j’irai dans ce stade. Je suis les résultats des matchs tous les week end, soit par Internet ou télé satellite ou bien je vais à Bordeaux.

Comment vit on cette passion en habitant Bilbao ? 

Ce n’est pas facile, la distance est un problème et en plus beaucoup de gens ne te comprennent pas,  et c’est difficile de leur expliquer. Heureusement mes amis me comprennent et maintenant ils m’accompagnent à Bordeaux et m’informent de beaucoup de choses sur les Girondins. L’accueil que vous nous réservez a fait qu’ils ont toujours une pensée pour le club, et ils ne l’oublient pas. C’est important car quelque part leur cœur est maintenant marine et blanc et je peux vous assurer qu’ils sont maintenant à fond dans le projet FCGB Euskadi.

 

Le FCGB Euskadi est-il connu au Pays Basque ? 

 

Ça commence, mais nous ne sommes pas très connus globalement. Nous utilisons Internet en nous présentant sur des forums de supporters et également par le biais de notre blog. Beaucoup de personnes nous écrivent et nous posent des questions, il y en a également qui souhaitent adhérer au groupe, ça nous fait halluciner ! Nous allons nous organiser et mettre toutes les informations possibles à la disposition de ces gens là, notamment en créant une adresse e-mail pour le groupe car la mienne est saturée.

Connais tu le mouvement ultra en France ?

Je le connais parfaitement et je connais pratiquement tous les groupes. Je crois que le mouvement ultra en France a beaucoup progressé en peu de temps. Il y a des groupes en  France qui sont clairement supérieurs à leurs homologues italiens. J’aime beaucoup les Magic Fans, les Ultramarines bien sur. Même si ce sont des rivaux, j’apprécie les virages parisiens, marseillais et niçois pour leurs tifo et l’ambiance.

Que penses tu des Ultramarines et sont ils connus chez vous ?

Oui vous etes connus au Pays Basque, mais aussi en Espagne,  et reconnus également en tant que groupe ultras de premier plan,  même si les groupes espagnols sont amis avec les lyonnais, parisiens et marseillais.

Les ultramarines sont la voix de Lescure comme diraient les « barras bravas » (nom donné aux hooligans argentins). Ce sont ceux qui n’abandonnent jamais. Nous sommes très impressionnés par l’organisation de ce groupe, c’est incroyable. L’ambiance du virage sud est exceptionnelle. 

Un mot sur les ultras en Espagne.

La caractéristique principale des groupes espagnols, c’est la politique. Il y a clairement 2 clans identifiés, la droite et la gauche. Les amitiés et les rivalités se créent uniquement en fonction des idées politiques. Les déplacements des groupes de supporters sont moins importants qu’en France, d’autant que le prix des entrées est très élevé (environ 35 euros de moyenne pour les places les moins chères). Il n y’a que 4 voire 5 groupes dignes de ce nom, les autres sont pratiquement insignifiants. Au Pays Basque, je mettrai en avant les « Herri Norte »(littéralement terres du nord, mais il s’agit d’un jeu de mot en basque avec l’ancien groupe politique herri batasuna proche de l’ETA) de Bilbao, parce qu’ils se déplacent, ils n’ont pas froid aux yeux et ne se cachent jamais, mais aussi les « Indar Gorri », pour leurs bonnes prestations au niveau de l’ambiance.  En Espagne, ceux que j’apprécie le plus, ce sont les « Biris » du FC Séville, ils font de supers tifo et les chants pètent bien.

Quels sont les relations entres les groupes basques ?

Les relations sont très bonnes, nous avons même créé le groupe « Euskal Hintxak » (supporters basques)  pour encourager la sélection nationale (1) du Pays basque. Ces dernières années les relations entre les « Herri Norte » et les Indar Gorri » étaient un peu tendues car au sein du groupe navarrais existait un groupuscule raciste, mais maintenant tout est rentré dans l’ordre, les « Indar Gorri » ont fait le ménage. Peu après,  Ils ont publié un communiqué officiel dans lequel ils annonçaient clairement leur position et leur soutien aux gars de Bilbao.

Etre de l’Athletic, ça veut dire quoi ?

L’Athletic représente beaucoup de choses à Bilbao, en Biscaye (2) et au Pays Basque. C’est quelque chose de spécial, son histoire, sa philosophie, tu baignes dedans depuis tout petit. Il est aimé ou détesté, mais toujours respecté même par ses détracteurs. Comme Barcelone ou le Real Madrid, c’est un club qui n’est jamais descendu en deuxième division, même si actuellement le club est un peu à la rue au niveau du classement.

Quel genre de musique on écoute au sein du FCGB Euskadi ?

Du rock basque, Kortatu, , Hertzainak, la polla, Barricada, Negu Gorriak. On écoute également des nouveaux groupes rock qui chantent en espagnol comme Marea ou, la Fuga. Reincidentes, ils sont andalous et très bons… on aime aussi le Ska 2tone, ska jamaicano, reggae et bien sur Fermin Muguruza. Par contre on déteste la techno.

Il y a des  « Old Brothers » à San Mames ?

 

Je ne crois pas. Des anciens “Herri Norte”, il doit en rester très peu, d’autant plus qu’ils ont 25 ans d’histoire cela veut qu’ils seraient pas loin de la cinquantaine. Il y a des gars 30-40 ans dans les virages mais ils ne sont pas organisés, ils viennent en simple supporter.

Quel titre musical souhaiterais tu entendre en lisant le blog « Old Brother » ?

N’importe laquelle de Kortatu ou Hertzainak, je te fais confiance.

Existe-t-il un mec comme « point G » à Bilbao ?

Ha, ha ha,, non il est unique. J’espère qu’il ne viendra jamais à Bilbao, il va nous piquer toutes nos femmes.

Je voudrais dire à tous les Old Brothers, merci pour l’interview, merci de nous avoir permis de rencontrer les gars du groupe. Un bonjour spécial à toi,  Seb, pour nous supporter chaque fois qu’on vient,  merci pour tout. Je voudrais particulièrement saluer « skunk », parce que c’est la première personne que nous avons rencontrée à Bordeaux et parce qu’il nous a toujours bien reçu, c’est super type. Un bonjour à tous les IDS du virage sud (errepresiorik ez, contre la répression). On se voit bientôt et « aupa Bordeaux ».

  

(1)   Euskal selekzioa, le pays basque a son équipe de foot mais ne dispute

que des matches amicaux. Ils existe un mouvement pour la reconnaissance de

cette sélection dans toutes les disciplines sportives, afin qu’elle soit reconnue

 auprès des grandes instances sportives.)

     (2)   La Biscaye est une des 3 provinces basques de la région Euskadi, dont la    capitale est Vitoria en Alava, reconnu par l’état espagnol. Les indépendantistes revendiquent également la Navarre (symbolisé par l’aigle noir sur un draoeau à fond jaune) ainsi que les trois provinces françaises

 FCGB EUSKADI

basque fans bordeaux.

 

 

 

 

 

 

  

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12 avril 2007 4 12 /04 /avril /2007 21:42

Enfin le grand jour, une quatrième finale de coupe de la ligue pour les Girondins, l’occasion pour nous les vieilles après nos randonnées à Liverpool et Osasuna d’effectuer un nouveau déplacement.

 C’est à onze heures que rendez-vous est fixé devant la gare, les premières capsules de canettes claque déjà et le parvis de la gare se transforme en une vaste vente à la criée de briquets et d’autocollants immortalisant cette finale 2007.

 

12H58 notre rame s’élance, nous avons une pensée pour nos collègues de la Oldbrothers Béru, Fred, Destroy, Le Rital. Parqués dans le dernier wagon  de la rame, Marius nous accueille avec comme d’habitude son large sourire et sa bonne humeur « sacré Marius !!! la la la la la la la la !!!), le temps de prendre nos marques et nous voilà lancés à  grand coup de sky coca et boisson anisé, à noter le premier incident de ce déplacement avec le vidage d’un verre de pif sur mon tee shirt Oldbrothers qui en a vu d’autre mais qui là semble vraiment niqué ! N’ayant pas le temps de faire appel à la mère denis je m’habitue bien vite à cette odeur mélange de piquette et de transpiration qui m’accompagnera tout le déplacement. Les bousculades s’enchaînent dans le corridor chacun gagnant du terrain à sa manière (mais que ce jeu est bourrin mais qu’est ce qu’on se marre bien), juste le temps de faire passé la ronde policière dans le couloir,  que les bousculades reprennent de plus belle une mention spéciale à nos preneurs de son et d’image le geg et le seb qui je l’espère nous ferons un super montage reportage.

 

A noter la présence d’un personnage assez atypique, un pote à Flo paraît-il,  après monsieur pignon à Osasuna voilà monsieur double mètre alias charles s’en charge et se charge dit aussi l’homme qui a avalé un américain record du débit de parole battu mais cela n’a pas empêché monsieur Pépito  de s’occuper de lui au retour !!!

 Après une séance apéro des plus classique, le repas est attaqué avec entrain et bonne humeur avec à la baguette l’ostréiculteur « El Barbudo » spécialiste du fruit de mer qui se transformera plus tard en boucher des Carpates (Merci Alex) mais on y reviendra.

  

Le temps de s’enfiler quelques bonne bouteilles de rouge et de blanc que nous voici arrivé à Paname. La descente en gare se passe sans encombre, Barbu n’a pas perdu ses lunettes tout va bien…le temps d’attraper le métro et de plaindre une poignée de banlieusards paumés et agars sur leur fauteuil que nous débarquons au stade de France.

Le chemin n’a pas été de tout repos pour certains la faute à un crétin de stabilobos sans cerveau, et oui Alex là où ses potes on 10 de QI toi tu est tombé sur celui qui plafonne à 2 !!! ;)

Notre arrivée au stade de France est marqué par un nouveau sport chez les OldBrothers avec Flo qui s’essaye au lancer du lyonnais : But du jeu (assez primaire mais tellement rigolo), avoir un lyonnais pour lui faire faire trois tours en lui tenant l’écharpe autour de son coup, force est de constaté que Flo est en grande forme en ce début de soirée !!!

La montée des marches nous emmène  au second anneau du stade les chants  et tifos sont lancés, l’ambiance est terrible, les 30000 Bordelais présent donnent de la voix, côté lyonnais ….. pas grand-chose… à si leur crétin de chant « qui ne saute pas n’est pas lyonnais BEH !!! » qui sonne comme une grosse casserole au vu de leur piètre saison .

Après une nette domination de notre équipe avec 90 % de possession de balle pour les Girondins ou 10 % de possession j’ne sais plus trop… HENRIQUE , tel une fusée propulse les 30 000 Bordelais au 7 ème ciel et mitraille les lyonnais devant leur virage , que c’est bon !!!!

Ramé et les siens peuvent levés les bras au ciel encore un trophée qui ne trônera pas dans les salons de la pleureuse d’Aulas et de son caniche mauvais perdant de Houiller !!!

La suite n’est que bonheur, les girondins communiant avec le public sur l’air de Paquito Chocolatero .

  

Le temps est arrivé de regagner notre train, parcourt sans encombre dans le métro où le banlieusard tire toujours la tronche.

Déjà les premières paupières se ferment que monsieur Pépito passe dans les rangs. Le temps pour votre narrateur de partir au chiotte pour chier sur son vomi,  de perdre un œil et de supporter mon cher copain choco toujours aussi casse couilles pour les retours de déplacements !!!!;) , que Maxou se charge de malaxer le cerveau de ceux qui reste en vie.

De retour à 7h 30 dans notre ville, le temps pour chacun de se donner rendez –vous pour les prochaines aventures du OldBrothers et de discuter de  tous les projets que nous avons dans les cartons : déplacements, gadgets, bâches, drapeau, bon j’arrête j’entend déjà les Mérignacais brailler !!!

 Crapou.

 

 

 

 

 

 

 

 

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5 avril 2007 4 05 /04 /avril /2007 23:56

Mardi 16 janvier ½ Finale coupe de la Ligue Reims / Bordeaux : Merde !!! Bordeaux gagne.

Dimanche 21 janvier dernier match de poule H CUP Northampton Saints / BO : Merde !!!! BO Gagne

Pourquoi Merde ???!!!???

Samedi 31 mars : Finale Coupe de la Ligue Stade France

Dimanche 01 avril : ¼ de Final H Cup Stade Anoeta

Mon foie ne va jamais supporter deux matches de ce niveau en deux jours !!!

Sacré dilemme !!! Que choisir ???

Y paraît qu’on revient toujours à son premier amour…

Il était donc naturel pour moi d’assister à la victoire bordelaise !!!

L’Histoire, avec un grand « H », me donnera raison, mais ça je ne le savais pas encore….

J’ai fait, comme beaucoup d’entre nous, les fêtes de Pampelune, Bayonne, Dax, Mont de Marsan, Tyrosse, Ustaritz… Bref !!! Des grandes, des moyennes, des petites, à errer de bar en bar, de bodega en bodega avec un ou plusieurs verres à la main, à festoyer toute la nuit !!!

Mais, il n’y a qu’avec les Ultras où je peux retrouver une telle ambiance : apéro, musique, huître, pâté, chorizo, saucisson…faire une GROSSE FETE….. dans un train !!! Nos amis de la Police (snif !!) breton ou ardennais (oui !!! nos deux gardes du corps du train) ne doivent toujours pas en revenir !!! Il y a peut être un concept à développer : le train bodega !!!

Qu’est ce qui peut me faire regretter de ne pas avoir tenté le doublé du week end ?

Rien… !!! Si peut être un Paquito Chocolatero au stade de France pour la victoire bordelaise… Putain que c’est bon !!!

En voilà une bonne transition !!!!!

J’ai l’habitude de l’entendre après chaque victoire biarrote… à Anoeta !!! Ca y est, je regrette de ne pas pouvoir poursuivre la fête avec mes potes du BO….

Non ! Finalement je ne regrette pas. On ne peut pas mener tous les combats…

L’histoire avec un petit « h » me donnera raison, mais ça je ne le savais pas encore…

Dans la vie faut se souvenir que des bons moments… en prévision des moments difficiles.

Ambiance Bodega, Victoire Bordelaise, J’ai eu mon « Paquito Chocolatero »… !!!

Putain que c’est bon !!!!

 

Ludo

 

 

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5 avril 2007 4 05 /04 /avril /2007 01:13

BDX OL finale coupe de la ligue 2007 SDF
Vidéo envoyée par oldbrothers
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28 mars 2007 3 28 /03 /mars /2007 21:00

Merci de lire d'abord la 2eme partie 24H00 CHRONO

 

 


Osasuna fevrier 2007_0003
Vidéo envoyée par oldbrothers
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28 mars 2007 3 28 /03 /mars /2007 20:51

18h40 Au Bar situé à l’extérieur du stade, appuyé contre la tribune

Les Ultramarines et tous les amoureux des girondins ont convergé vers le stade Reyno de Navarra. Du coup, on retrouve toute la famille et même ceux que l’on avait pas encore vus.

Les chants claquent dans les bodegas. Les supporters des deux camps se mélangent, la musique est plutôt Rock and Roll. L’ambiance fait penser à  celle d’un avant match de rugby ou aux good vibrations (Yeah !) qui règnent devant  la scène d’une salle de concert pleine à craquer qui n’attend plus que l’entrée de Fermin Muguruza pour déclencher la furia.

La température monte dangereusement, ça tombe bien, nous, on aime bien quand il fait chaud !!!

Pourtant, il va bien falloir entrer dans le stade.

Pendant la demi-heure qui suit, chacun d’entre nous va essayer de « se gérer »,  et de gagner comme il le peut notre parcage. Les Olds Brothers se scindent en… 9, on pouvait guère faire mieux…

Heureusement, on rentera tous… un brin de chance ou l’expérience ? Peut-être un peu les deux.

On monte un escalier d’une hauteur hallucinante d’au moins… 350 marches (enfin j’ai pas compté mais c’était interminable, une seconde j’ai pensé à l’escalator du stade Louis II… Et je m’suis dit que ce soir j’aurais bien aimé l’emprunter !!!).

 

20h40 dans la tribune

Depuis quelques minutes, nous encourageons notre équipe. Placés en haut de la tribune d’honneur, nous faisons un raffut de tous les diables.

10 ans de grand chelem, ça se fête dignement.

Pourtant, quand je relève mes lunettes de soleil (ah tiens, c’est bizarre on y voit beaucoup mieux comme ça !!!), je vois des joueurs qui marchent ou trottinent, toujours bien placés… ah oui bien placés… tiens je te passe la balle sur le côté… Tu me la redonnes et je la passe à Ramé… mais qu’est ce qu’on se fait chier !!!!

Le match se joue sur un rythme de foot loisirs du vendredi soir, je sais de quoi je cause, j’en ai fait quelques uns…

Et en plus le Président n’a pas daigné se déplacer, il parait qu’il est en vacances, vises la motivation !!!

Qu’il est loin le temps où une Coupe Européenne transcendait ceux qui portaient notre maillot au Scapulaire ou ceux qui dirigeaient le club !!!

Je remets mes lunettes, j’en ai rien à foutre de rater des passes en retrait.

 

22h40 ça commence à sentir mauvais tout ça…

Peu importe, nous chanterons à en vomir… Attends oh ! C’est une image « Petit », un « effet de style », pour dire qu’on met tout ce qu’on a, si tu veux j’aurais pu dire… « On se vide les couilles » ! Oh ! Mais tu fais quoi « Dugland » déconnes pas, ça aussi c’est une métaphore!!!

Le parcage raisonne de nos chants, ici personne ne triche, seul la passion nous guide.

Tels des morts de faim nous chantons à tue tête, le spectacle est désespérant sur la pelouse en contre bas, peu importe, notre passion est plus forte que ça.

Les millions contre la passion…

A la 119ème minute, nous prenons le but qui nous élimine, pas un joueur ne viendra nous saluer, la passion contre les millions, un combat qui semble déséquilibré.

Heureusement, quand le stade se vide, les amis basques d’Indargorri chanteront un « Virage Sud, Virage Sud », qui à défaut de nous redonner le sourire, nous aidera à mieux supporter cette défaite peu glorieuse…

 

00h40 un saucisson beurre et on s’en va… enfin presque

Le coffre de la voiture ouvert, les premiers Olds Brothers attendent le reste de la troupe sur un parking quasi désert. Seuls les occupants de 2 ou 3 voitures françaises récupèrent avant de reprendre la route.

Un « bad trip» plus tard causé par des connards de beaufs de merde pseudos supporters des girondins, nous repartons direction la frontière puis Bordeaux.

Le retour est long, très long pour les conducteurs, moins longs, beaucoup moins longs pour les ronfleurs…

La voiture numéro 2 aura été atteinte du syndrome de la gerbitude aigüe, les herbes folles de l’autoroute en garde sûrement encore les traces aujourd’hui…

 

Jeudi 23 février, 4h40 Allez, au lit !

Grasse matinée pour certains, les autres, ceux qui doivent aller bosser passeront leur journée à jouer à cahe-cache au travail… Bonne chance les gars !!!

On se retrouve la semaine prochaine, y’a match à Lescure.

 

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26 mars 2007 1 26 /03 /mars /2007 17:58

22 février 2002- 8h40 Floirac city

Enervés comme des ados qui partent en vacances pour la première fois sans leurs parents, le sourire idiot et la bouche pleine de blagues à deux balles nous attendons Francky pour démarrer notre périple.
Et ça, c’est la première surprise du jour. En effet,  nous étions tous prêts à miser un bon paquet de dollars sur un retard de Fred R. à ce rendez-vous matinal, sachant qu’en temps normal, ce garçon a plutôt tendance à se faire des noeuds avec les aiguilles de sa montre.
Quand Francky se gare, il n'est pas seul… Mais oui, c'est bien Gégé qu'on aperçoit, lui qui devait bosser a pu se libérer in extremis. Y'a pas à dire mon Gégé t'es mieux ici qu'au volant de ton camion benne !
Enfin au complet, nous partons direction la frontière. 8 Old Brothers plus un invité sont répartis dans deux voitures. Nous sommes motivés comme jamais pour vivre sans retenue cette journée européenne.

Après notre périple à Liverpool, que c'est bon d'être ensemble bordel !!!

Sur le pas de ma porte, je pense à Béru, à Fred, Rital, Sylvain… et tutti quanti, la distance et les problèmes personnels ne seront jamais plus forts que notre amitié.

La journée sera sans aucun doute bien remplie, le beau temps est de la partie, ça tombe bien j'ai pris mes lunettes de soleil.

11h40 Behobia
 « Qu’est-ce que tu bois toi? Ben j'sais pô, une bière pourquoi... ah ouais, bonne idée, alors 9 canas por favor ».
Stock de clopes pour certains, d'apéro pour d'autres, on bascule et on y va. Tout se passe un peu plus loin... direction Pampelune. Aujourd'hui pas de toros, pas de San Fermin, un seul objectif, rejoindre la smala d'énervés, frères ultras qui nous ont devancés pour l'avant match, après on verra…

Sébastien lance le cd « compil » préparé spécialement pour ce déplacement et moi, je monte le son... Les morceaux s'enchaînent… Et je remonte le son.
Voyage sans souci jusqu'à la capitale de la Navarre , en route nous doublons pour la seconde fois le bus des Partisans (Nadine t’es bonne !!!), quelque chose me dit que l'on risque les revoir plus tard…

12h40 Pamplona
Quand tu arrives dans une grande ville, ne JAMAIS faire confiance à tes potes pour te guider jusqu’au lieu de rendez vous, tu te fais vite endormir...

« Ouais, j'sais où c'est... t’inquiètes… y'a une Grande Place... ben quand t'arrives c'est à droite... et je crois qu'après y'a une route et c'est là, la rue Estafeta !! »  (N'est-ce pas mister Gégé !).

Résultat tu gagnes une visite gratos de la banlieue: « Et à droite hé ho, et à gauche hé ho, en avant hé ho, on est com-plèt'ment paumé! ».
Pendant qu'un poivrot bancal tente en vain d'expliquer le chemin à suivre pour regagner le centre ville, nous (les 2 Seb, Francky and me) reprenons les choses en main, passons devant et, 15 minutes plus tard, on peut enfin tremper nos lèvres dans une bonne bière bien fraîche.

Quelque chose me dit qu'on risque en boire d'autres...
Le soleil illumine les vieilles rues de Pampelune, les filles sont belles. Et les gars ! faites gaffes à pas choper un torticolis…


13h40 Casco viejo 
Guidés par notre instinct ... et un peu par notre téléphone portable, nous avons retrouvé les amis bordelais depuis un moment maintenant.
Le bar ressemble à la Kasa , tous les sales gosses sont là, on pose le drapeau ultras sur une balustrade qui ressemble étrangement à celle du pub de Liverpool que l’on a écumé quelques mois plus tôt.

Après un ou deux verres pour se mettre en bouche et quelques calamares offerts par le patron, c'est l'heure de l'apéro: "Camarero, whisky coca para todos!".

C'est comme à la maison mais… en mieux. Les regards se croisent entre jeunes et vieux, les poignets de mains sont franches, le respect est mutuel. On peut lire sur le visage de tous la fierté et le plaisir d'être ensemble.

Une fumée épaisse et odorante envahit le troquet. Ca doit être le brouillard anglais qui nous a rattrapé.

14h40 Même bar
 Les conversations vont bon train chez les Olds Brothers :

« Il fait chaud non? T'es pas un peu dèf toi??? Pourquoi ils nous servent les whisky- coca dans des vases ? Et pourquoi avec une bouteille entière le serveur il remplit QUE 6 verres ici? »
 « Bon allez, un dernier et pis après on va manger parce que sinon... »
On dit à tout à l'heure aux amis qui, peu de temps après notre départ, auront l'occasion de saluer "d'assez prêt" quelques types qui ont oublié le sens des mots "politesse" et "savoir vivre". Que c'est con des beaufs français en vacances à l'étranger!!! A ce moment là, rien ne me dit que l'on risque les revoir...

15h40 Au restaurant
On a réussi à se sortir de ce premier piège, mais putain qu'c'était dur!!!

Enfin attablés, nous mangeons avec appétit, avec qui? Appétit j't'ai dis. C'est vrai on commence à être un peu fatigués, et c'est pas à cause du décalage horaire... vu qu’il n’y en a pas!!!
On reprend des forces sans oublier de goûter au vin de table dont la serveuse nous abreuve généreusement.
On pousse un peu la chansonnette, mais bon, pour l’instant c'est pas terrible. On se sert un dernier verre avant de payer, faut pas gâcher.

16h40 Et si on allait boire un coup!!!
Ben ouais c'est vrai, on n’a pas pris le dijo.
Grâce à la magie du portable, on se retrouve littéralement aspiré vers un bar qui est devenu le temps d'une après midi le QG des Partisans 33. Y'a pas de raison que ça ne devienne pas un peu le nôtre aussi.
A partir de là, tout s'accélère. Certains se retrouvent les mains chargées de verres aux contenus multicolores (des dijos à gogo pour l’ami Destroy), d'autres enchaînent les pressions comme s'ils buvaient des grenadines à l'eau, moi je négocie à ma manière pour passer derrière le comptoir et "gérer" les stocks.

J’en profite pour négocier la tournée du patron.
Les chants fusent, la musique est bonne, j'improvise un duo avec le serveur repris en coeur par les Olds Brothers et les Partisans mélangés. Sébastien mène les troupes à la baguette, Kortatu est dans la place, tout baigne.
On met un joyeux bordel, ça tombe bien, on aime ça.
.... Soudain... quelqu'un  (j’sais pas qui, en tout cas pas Seb 2 qui est maintenant bilingue Pochtron / basque) décide qu'il faut bouger pour récupérer les bagnoles et se rapprocher du stade. Y'a du vent dans les voiles, c'est bizarre, tout à l'heure y'avait pas de vent.

17h40 Quelque part
Léger passage à vide de votre reporter qui, voulant rejoindre c'est acolytes dans "le dernier bar" apprend à ses dépends que tout corps qui tombe de haut finit par se faire mal quand il touche le sol.
Je m'explique.

Tel "Pouf le cascadeur" ou Colt Sivers dans "l'Homme qui tombe à pic", je réalise une magnifique cascade à «l'insu de mon plein gré » en rentrant dans un bar que je croyais de plein pied alors qu'il fallait descendre 5 marches pour accéder au comptoir.
Maîtrisant les arts martiaux et les techniques de maître Ioda, j'évite la triple fracture et l'enfoncement de la boite crânienne. Ouf! J’ai eu chaud quand même.

Mais bon, à l'avenir je crois qu'il faudrait qu'on s'encorde, y'a un match à voir et notre équipe à supporter.

 

 

 

 

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